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Un étudiant chinois a tué d'un coup de couteau une secrétaire administrative de 49 ans mercredi matin à l'université de Perpignan. Une autre personne a été blessée. L'auteur du crime, inscrit en deuxième année de sociologie, "présentait des troubles du comportement". Agé de 26 ans, il avait accepté de se faire soigner début novembre. La ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse est attendue sur place dans l'après-midi.
3 t1 I3 F. t& h, Q) G2 q; JVers 9h30, l'étudiant s'est présenté dans le département de sociologie de l'université avec un couteau de boucher de 20 à 30 centimètres. Il a été interpellé et placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire.
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La personne grièvement blessée a été atteinte "à la face, aux bras et aux jambes" alors qu'elle tentait de se protéger, a ajouté le procureur de la République de Perpignan Jean-Pierre Dreno.
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Nicolas Sarkozy a exprimé "toute son émotion" après cette agression mortelle et souhaité que l'enquête "fasse le plus rapidement possible la lumière sur ces événements".& V' O4 N3 D& \- y
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La ministre de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse a réaffirmé dans un communiqué que "la violence n'a pas sa place dans l'enceinte universitaire", assurant les équipes pédagogiques et administratives de son "total soutien". La ministre a demandé au recteur de Montpellier et au président de l'université "de prendre toutes les dispositions nécessaires pour l'accompagnement psychologique des étudiants et des personnels de l'établissement".* _3 J% S K7 r# L, ^, ]9 x1 O
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Le président de la conférence des présidents des universités, Lionel Collet, "n'a pas le souvenir d'un événement d'une telle gravité", après l'homicide commis à la faculté de Perpignan où il voit un cas "isolé", soulignant que l'université doit rester un "lieu d'étude et de dialogue". |
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